Présentation

Recherches exploratoires

Nom du projet Thème API
Myclimate Réduction des émissions CO2 Oui
Conscience et Impact Écologique Sensibilisation à l'urgence climatique Non
WWF Préservation de l'environnement (faune) Non
Guide du tri Aide au tri Non

En détail

Myclimate

Myclimate
  • Fondateurs
  • Créé en 2002, Myclimate est une ONG dont l’objectif est d’assurer la protection de l’environnement. C’est l’Institut Fédéral Suisse de la Technologie de Zurich (ETH Zurich) qui en est à l’origine. Ce projet est supporté par d’autres acteurs l’ETH Centre for Sustainability ou encore l’Office Fédéral Suisse de l’Énergie. Parmi les mécènes se compte Doris Leuthard, la Ministre Suisse de l’Environnement.

  • Bénéficiaires
  • Les bénéficiaires du projet sont multiples. Dans un premier temps et logiquement, la planète, car elle est au centre des préoccupations de l’ONG : le but est de la préserver. Ensuite, les entreprises, associations et particuliers. En effet, ces derniers peuvent notamment calculer leur empreinte carbone sur le site ou suivre des formations et donc disposer d’informations utiles. Nous pouvons même évoquer les États et administrations publiques qui peuvent en avoir les mêmes besoins et/ou l’envie.

  • Utilisateurs
  • De fait, une partie des utilisateurs sont les mêmes que les bénéficiaires. C’est le cas pour les administrations publiques, les entreprises, les associations et les particuliers. Ils vont eux-mêmes faire la démarche d’information. Plus particulièrement, nous pouvons penser que les utilisateurs seront des personnes occupant des postes RH ou mobilité en ce qui concerne les organisations. Les particuliers quant à eux sont utilisateurs de par leur curiosité.

  • Besoin
  • Myclimate permet à ses utilisateurs de calculer leur impact en matière de CO2 et d’ainsi mieux comprendre leur consommation. Pour les personnes souhaitant compenser leurs émissions (ponctuelles ou non) de CO2, ces dernières ont la possibilité de payer un montant proportionnel à la pollution générée. Par exemple, pour un trajet en voiture de 250km en essence, le prix à payer s’élève à 2 CHF. Certains utilisateurs peuvent aussi ressentir le besoin de se former afin de mieux comprendre les enjeux du changement climatique et les actions qu’ils peuvent entreprendre pour être acteur de l’engagement. Il existe la formation « Pionniers de l’énergie et du climat ».

  • Principe
  • La question du changement climatique est au centre des préoccupations contemporaines. C’est un fait : les ressources de la planète nous sont indispensables mais ne sont pas sans s’épuiser. L’objectif d’une ONG comme Myclimate est donc de rendre accessible des informations, qui pourtant nécessitent des connaissances et une expertise, à tous. Démocratiser les enjeux du climat c’est éveiller la conscience écologique de chacun. Le site est construit autour de 3 piliers : s’informer, s’engager, compenser.

  • Technologie
  • Pour commencer, il faut assembler les connaissances scientifiques et les recenser les besoins de formation pour en proposer des cohérentes. Une fois que le contenu du site est défini, il faut le faire. C’est là qu’intervient la programmation et le codage. Il faut aussi faire appel à la technologie pour tout ce qui est dispense de formations (Internet, support…). Enfin, Myclimate propose un API pour pouvoir intégrer facilement le calcul des émissions de CO2.

  • Sources
  • https://www.myclimate.org/fr/ https://en.wikipedia.org/wiki/Myclimate

  • Autres informations
  • Deux projets myclimate ont été nommés «Game Changing Climate Lighthouse Activities» par le Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon les a honorés lors des Conférences des Nations Unies sur le climat à Paris et à Doha. Le projet «Klimalokal» a remporté en 2012 le Milestone Award, la plus haute distinction du tourisme suisse.

Conscience et Impact Écologique

CIE
  • Fondateurs
  • L’association Conscience et Impact Écologique (CIE) est une association créée à Lyon en 2016. Aujourd’hui, présente sur plusieurs autres territoires français, elle a pour but de se développer en gardant en tête des objectifs précis : 1) Développer l’envie d’agir : montrer l’importance des enjeux voire le caractère d’urgence de ceux-ci à travers des présentations-questions ouvertes, des débats mouvants, etc. 2) Développer la capacité d’agir : mettre en avant les solutions individuelles ou sociétales à travers des ateliers de réflexion ou des ateliers pratiques (créations de cosmétiques, réparation d’objets électroniques, conception de bombes à graines, potager, repérage des ingrédients à éviter, etc). 3) Accompagner les structures et les événements

  • Bénéficiaires
  • Tout comme le premier projet, la première bénéficiaire de ce projet est la planète, dans la mesure où le but de l’association est de prévenir, de faire comprendre, de faire agir, et ce par rapport à l’urgence climatique. Les bénéficiaires des projets d’action de la CIE sont les écoles primaires, les collèges et lycées, les établissements du supérieur, les structures sociales, les entreprises, les festivités, les restaurateurs, et enfin les particuliers. Ils peuvent suivre les animations dispensées sur des thèmes précis que sont : « Alimentation », « Énergie », « Déchets » et « Sensibilisation ». Les bénévoles et salariés ont la possibilité de participer à toutes les facettes de l’activité de la structure (animations, administration, communication, rédaction, etc).

  • Utilisateurs
  • Les utilisateurs du site sont ceux qui veulent programmer les rendez-vous ateliers et conférences de l’association, ou du moins qui veulent se renseigner. Dans les cas des écoles primaire par exemple, ce sont les professeurs qui organisent la venue de l’association, mais les écoliers qui vont suivre l’atelier de sensibilisation (comme celui sur la pâte à tartiner).

  • Besoin
  • La question de la préservation de l’environnement et de la nécessité d’agir vite est primordiale. Ainsi, via les activités proposées, la CIE se positionne comme un acteur majeur du changement. Elle partage du savoir et est surtout très ouverte au dialogue.

  • Principe
  • La CIE affiche clairement ses objectifs. À travers les animations, elle cherche à : Faire de chacun·e d’entre nous un individu conscient et informé : au final, l’essentiel reste de montrer à tous que bien des caractéristiques de notre société peuvent être remises en question. Il peut s’agir aussi bien de la pertinence du transport individuel, de la consommation de viande journalière, de l’usage généralisé du plastique ou encore de la nécessité de l’utilisation de produits chimiques dans l’agriculture. Faire de chacun·e d’entre nous un·e éco-citoyen·ne : en mettant en avant toutes les solutions individuelles que l’on peut appliquer au quotidien en matière d’alimentation saine et respectueuse de tous, de consommation d’énergie, de gestion des déchets et, tout simplement, de consommation raisonnée. Le but est également de renforcer l’autonomie des individus face à cette consommation. Il est essentiel que nous ne soyons pas dépendant de la consommation et des technologies pour se nourrir, prendre soin de soi, se repérer, communiquer… Faire de chacun·e d’entre nous un·e acteur·ice de la transition sociétale : il s’agit du meilleur résultat que nous puissions espérer. Que ce soit par le biais de notre association ou de n’importe quelle autre structure engagée dans l’élaboration d’une autre société, nous souhaitons qu’un maximum de personnes s’implique de manière concrète suite à nos animations.

  • Technologie
  • Les technologies utilisées au sein de cette association sont surtout issues de la maîtrise numérique et surtout pour des fins d’organisation. Étant bénévole là-bas, j’ai accès au Drive qui contient toutes les informations, notamment en ce qui concerne les besoins de formation sur des sujets avant de pouvoir les animer, sur les nouveautés… Les ateliers en tant que tél sont très souvent basés sur des PowerPoint.

  • Sources
  • https://association-cie.fr

WWF

WWF
  • Fondateurs
  • Le WWF World Wide Fund for Nature est une organisation non gouvernementale international créée en 1961, vouée à la protection de l'environnement et au développement durable. Elle est l'une des plus importantes ONG environnementalistes du monde avec plus de six millions de soutiens, travaillant dans plus de 100 pays, et soutenant environ 1 300 projets environnementaux. À l’origine, WWF avait pour objectif de collecter des fonds d’aide pour les animaux en voie de disparition et donc la préservation de la faune et de la flore. Julian Huxley, Peter Markham Scott, Yolanda Farr, Edward Max (…) sont des membres fondateurs. Depuis 2017, Pavan Sukhdev en est le président.

  • Bénéficiaires
  • Encore et toujours, la planète. Mais ici plus en particulier les animaux et les plantes. Le but est vraiment de préserver l’existant. Le champ d’action étant large, les bénévoles ont la possibilité d’être sur plusieurs fronts : vie des océans, alimentation, vie sauvage, vie des forêts, climats et énergie…

  • Utilisateurs
  • Les utilisateurs sont majoritairement les entreprises et les particuliers. Les entreprises car elles peuvent avoir envie d’entamer leur transition écologique ou parce qu’elles subissent les pressions de l’association qui veulent les influencer (tout comme pour les pouvoirs publics !). Les particuliers car ce sont eux qui sont acteurs des actions de la WWF. Ils sont au cœur du fonctionnement de l’ONG.

  • Besoin
  • La WWF soutient un besoin propre à la nature. Elle répond aussi au besoin de partage de savoir via son site web.

  • Principe
  • Les activités du WWF sont les suivantes : • Surveillance de l'application de la réglementation internationale et nationale ; • Étude scientifique pour diagnostic ou proposition ; • Restauration d'espaces naturels dégradés ; • Formation ou éducation ou sensibilisation de tout public de tout âge à l'environnement (biodiversité, réchauffement climatique, espèce menacée, pollution, exploitation industrielle de la faune et de la flore au-delà du raisonnable : développement durable, attitude éco-citoyenne, bois et forêt, mer et océan, eau douce, empreinte écologique, etc.).

  • Technologie
  • Les technologies sont utilisées dans le cadre des formations et de l’information sur le web. La technologie est aussi présente dans toutes les actions qui font appel à la construction.

  • Sources
  • https://www.wwf.fr https://fr.wikipedia.org/wiki/WWF https://www.youtube.com/watch?v=P2pny4Nvojw

  • Autres informations
  • Deux projets myclimate ont été nommés «Game Changing Climate Lighthouse Activities» par le Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon les a honorés lors des Conférences des Nations Unies sur le climat à Paris et à Doha. Le projet «Klimalokal» a remporté en 2012 le Milestone Award, la plus haute distinction du tourisme suisse.

Le guide du tri

Guide du tri
  • Fondateurs
  • Le guide du tri est une application récente qui permet à ses utilisateurs d’adopter un bon processus lors du tri. Cette application gratuite a été créée par CITEO, l'éco-organisme qui accompagne le recyclage des emballages.

  • Bénéficiaires
  • Dans un premier temps, les collectivités. En effet, si les habitants des villes et des campagnes maîtrisent le tri et n’ont pas de frein à le mettre en œuvre (par des explications claires et faciles d’accès notamment), cela leur est avantageux. Logiquement, à la suite de la chaîne, l’État. Enfin, le monde entier finalement, car recycler est une action qui traduit la volonté de faire attention à l’environnement.

  • Utilisateurs
  • Les utilisateurs sont majoritairement les particuliers. L’application est surtout utilisée au moment de faire du tri, quand la personne est face au moment de l’action.

  • Besoin
  • Il est courant que les personnes soient perdues au moment du tri : « Dans quelle poubelle est-ce que je jette ce carton ? », « Est-ce que ma cannette se recycle ? ». L’application leur permet une réponse rapide et à o-portée de main. Un moyen de ne pas décourager les populations de ces actes responsables.

  • Principe
  • Trier est un processus complexe dont les normes varient selon la zone géographique. Pourtant, l’État et les structures environnementales ont pour objectif que les populations le fassent le plus possible. L’application se défini comme telle : « DES ÉCO-GESTES POUR BIEN TRIER VOS DÉCHETS ! Le Guide du tri vous aide à gérer vos déchets de façon plus responsable. Ayez les bons tri-flexes, découvrez toutes les alternatives au recyclage ou comment réduire les déchets. Plein de conseils pour bien trier et améliorer votre impact au quotidien. »

  • Technologie
  • L’application est une technologie à elle-même. Le plus gros travail est celui à faire sur la cartographie : normes en place et emplacement des points de collectes dans la ville.

  • Sources
  • https://citeo.guidedutri.fr https://duboin.ovh/trier-dechets/lapplication-guide-du-tri/ https://www.18h39.fr/articles/guide-tri-lappli-indispensable-aide-a-trier-vos-emballages.html


















Pour aller plus loin

Je choisis de prendre comme base de projet l’application « Le guide du tri ». En effet, elle ne dispose pas d’API et je pense qu’il pourrait être intéressant d’en mettre un pour optimiser son utilisation.

Acteurs du projet

Comme évoqué précédemment, le guide du tri a été créée par CITEO, l'éco-organisme qui accompagne le recyclage des emballages. Comme l’application recense des points de collecte et permet aussi de consulter les consignes de tri précises de chaque ville, nous savons qu’elle nécessite l’aval et l’aide des collectivités en question. C’est un réel travail collaboratif (en partie parce que les deux parties y sont gagnantes). Comme acteur du projet, il y a les utilisateurs, car finalement, ce sont eux qui font vivre l’application.

Application guide
Problématique

Comment faciliter l’utilisation d’une application de tri via un API pour motiver et s’assurer que les foyers français adoptent durablement cette pratique ?

Pourquoi j'ai choisi ce projet

Je pense que ce projet peut avoir encore plus de sens s’il s’adapte à la commande vocale. Mise en situation : je veux jeter un pot de yaourt mais je ne sais pas dans quel bac je dois le mettre. J’ai donc les mains prise par mon déchet. Pour consulter les normes de tri de ma ville, je vais devoir donc 1) poser mon yaourt 2) me rincer les mains pour 3) prendre mon téléphone, le déverrouiller et ouvrir l’application 4) faire ma recherche 5) poser mon téléphone 6) reprendre mon déchet et 7) le jeter au bon endroit. En fait, moins on a d’étapes, plus on augmente les probabilités d’utilisations de l’application.

Scénario

Utilisateurs

Les utilisateurs sont majoritairement les particuliers. L’application est surtout utilisée au moment de faire du tri, quand la personne est face au moment de l’action.

Ma persona

  • Julien Deschamps
  • 26 ans
  • Responsable DSI chez Engie
  • Vit en appartement dans le le centre-ville de Grenoble
  • Célibataire
  • 3 400 euros / mois
  • Aime faire de la course à pied, du vélo et de l’escalade. Va voir des expositions de temps à temps et écoute beaucoup de rock.
  • Rêve de faire du parapente à Chamonix et de trouver la femme qui lui correspond.
  • Trouve que la population n’a pas assez conscience des enjeux environnementaux mais a du mal à apprendre seul les bons gestes et attitudes à adopter.
  • Ses propres parents ne lui ont pas appris à trier car ils n’y voyaient aucun intérêt, et cela le frustre.

Caractéristiques

Permettre une prise de conscience des enjeux du tri - Donner accès aux connaissances du processus du tri - Donner envie de trier via une sensibilisation des utilisateurs - Répertorier les points de collecte dans les villes - Prodiguer des conseils sur les comportements à adopter pour protéger la planète

UX Storyboard
Storyboard

Analyse technique

Principes généraux

Le but est que, via Alexa ou tout autre objet connecté à reconnaissance vocale, l’utilisateur puisse se passer d’effectuer la recherche manuellement sur l’application. Il faut donc qu’Alexa puisse récupérer les informations disponibles dans l’application pour les retransmettre oralement. Cela est aussi valable pour tout ce qui est récupération de données plan (Google Map pour situer les points de collecte).

Alexa
API version

Le but est qu’Alexa puisse puiser les informations et ressources disponibles dans l’application guide du tri afin de les retransmettre oralement. L’API fait la liaison entre 2 applications. Actuellement, cela n’existe pas encore et l’utilisateur doit passer par trop d’étapes pour arriver à ses fins. Or, cela est décourageant pour ce dernier. Plus les données sont accessibles sans contraintes, plus il y a de chance que des personnes pensent et vont jusqu’à utiliser l’application. Il va donc falloir utiliser la fonctionnalité GET qui nous permet de récupérer de l’information.

Valeur ajoutée

Cette API peut être en faveur de l’application en lui permettant d’augmenter le nombre de téléchargement. Cela peut être comme une technique marketing qui promeut la facilité de prise en main de l’application. Encore et toujours, un moyen de réduire les étapes du processus de tri pour les particuliers.